Le combat pour le développement lancé par le Président Paul Kagame après la libération du peuple rwandais du régime oppressif et du joug de la dictature, s’est orienté vers le développement durable. Les atouts ne manquent pas mais des défis doivent aussi être surmontés.
L’un des atouts majeurs qui a fait défaut à ce pays pendant longtemps demeure l’absence d’un leadership soucieux de l’avenir meilleur de son peuple. La remise de multiples trophées au chef de l’Etat rwandais dont les plus récents sont Clinton Global Citizen Award et International Peace Medal constitue une reconnaissance de son dévouement pour le peuple rwandais exprimée à son égard. C’est aussi un encouragement à poursuivre le noble combat contre la pauvreté en vue d’amener la population à jouir des conditions de vie assez décentes. L’atout est de taille.
La plupart de pays dont la population stagne dans l’ignorance et avec une situation miséreuse, sont victimes de l’absence d’un leadership capable de jouer le rôle d’un meneur de jeu efficace en vue d’enregistrer des résultats positifs. Le Rwanda de la Renaissance a été épargné d’une médiocrité au sommet de l’appareil politico-administratif. La situation n’est toujours pas aussi brillante à la base.
La gouvernance d’un pays s’exerce à travers tout un système politico-administratif. Il s’avère donc nécessaire que tous les maillons de la chaîne soient régulièrement huilés et au besoin replacés ailleurs en tenant compte de leur efficience.
La prospérité rapide est à la portée de tous à une et une seule condition : tous les acteurs du système de gouvernance doivent comprendre la nécessité de s’adonner sérieusement au travail par la promotion de la production des biens et des services de qualité pour le bonheur de la société toute entière.
La Rédaction
http://www.orinfor.gov.rw/editorial747.htm
Posté par rwandaises.com