« Renier l’histoire sur un sujet aussi important que l’Holocauste n’est tout simplement pas acceptable, pas plus qu’il n’est acceptable d’appeler à l’élimination d’un État quel qu’il soit ou d’un peuple quel qu’il soit. »
Ban Ki-Moon, Secrétaire général de l’ONU – 2006
Nous avons donc le plaisir de vous inviter à notre prochain débat-citoyen qui se tiendra entre 19h00 et 21h00 le mercredi 31 janvier 2018 ! Venez nous rejoindre le temps d’une soirée pour échanger et discuter autour de la mémoire des génocides et des crimes de guerres.
Pourquoi parler des génocides et des crimes de guerres ?
La Journée mondiale dédiée à la mémoire des victimes de l’Holocauste sera l’occasion de nous souvenir et rappeler aux nouvelles générations les génocides et crimes contre l’humanité. Cette étape est essentielle dans toute prévention contre les atrocités que notre humanité ait connues.
Des actes de barbarie continuent à être commis notamment sur le continent africain où des situations sont très préoccupantes et l’on peut craindre des génocides.
Au-delà des génocides et des crimes contre l’humanité reconnus par les instances internationales et nationales, il est de notre devoir de sensibiliser, conscientiser et porter des messages de cohésion et d’humanité. La problématique est d’autant plus d’actualité que les cours d’histoire risquent d’être dilapidés dans un tronc commun de l’enseignement secondaire.
Quel rôle la société civile peut-elle jouer dans la prévention des génocides ? Quels remparts peuvent être mis en place dans les situations de conflit?
Quelques questions qui seront notamment abordées par nos intervenants.
Intervenants
Pour aborder cette question aussi délicate qu’importante, nous avons l’honneur d’accueillir deux intervenants spécialement pertinents :
Frédéric Crahay est directeur de l’ASBL Mémoire d’Auschwitz-Fondation Auschwitz. Il abordera la mémoire de la Shoah et son utilité à l’heure actuelle.
Florence Rasmont, est historienne et chercheuse au CEGESOMA. Son travail de recherche s’est concentré sur la mémoire locale du génocide tutsi. Elle a contribué à la mise en place d’une politique publique de la mémoire au Rwanda.
Informations pratiques
Nous vous attendons donc nombreux pour venir enrichir la réflexion et le débat autour d’une thématique qui nous concerne tous. Ce débat citoyen se tiendra à l’Avenue de la Toison d’Or, 84-86 à 1060 Bruxelles le mercredi 31 janvier de 19H à 22H. Pour plus d’informations, n’hésitez pas à consulter le site de l’ILFAC.
Merci de bien vouloir vous inscrire gratuitement auprès à info@ilfac.be, par téléphone au 02/500.50.95 ou via le bouton ci-dessous et de faire circuler cette invitation au sein de vos réseaux.
S’inscrire
Latifa Aït-Baala
Présidente ILFAC
Alain Vander Elst
Administrateur délégué
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Poste le 18/01/18 rwandaises.com