Le RNC/ Rwanda National Congress du dissident général rwandais Kayumba Nyamwasa réfugié en Afrique du Sud continue de bénéficier du soutien actif du Gouvernement ugandais par le truchement du Service Ugandais de Renseignement Militaire/ CMI. Ce soutien tient en un appui soutenu dans le recrutement forcé de ressortissants Rwandais se rendant ou résidant en Uganda, en une plaque tournante pour la diplomatie de cet RNC, en une arrière-base pour les activités militaires de ce mouvement qui rêve si pas de prendre le pouvoir à Kigali, déstabiliser sérieusement les efforts de développement et les réalisations économiques du pays.

Rebelles, malades de haine, s’exercent sur les Banyamulenge ou Ituriens de l’Est de la RDC
Ce projet criminel de guerroyer est-il nécessaire ? Sont-ce certains libérateurs du Rwanda qui doivent envenimer la situation à cause de certains intérêts politiques ou autres qu’ils n’ont pas reçus ? Est-ce que toutes les voies de résolution pacifique de ce conflit latent sont-elles épuisées ? Dommage que ces va-t-en-guerre savent que le prix à payer est énorme mais qu’ils persévèrent à écouter les colporteurs de la haine étrangers. Mais pourquoi s’exercent-ils sur les pauvres et paisibles Congolais de l’Est ?

Il ne peut pas se concevoir le fait que ces anciens libérateurs rwandais regroupés au sein de RNC soient roulés par le vieux Museveni ugandais avec ses 33 ans au pouvoir à Kampala, puissent s’allier aux FDLR (Forces Démocratiques de Libération du Rwanda) composées d’anciens caciques de l’Armée gouvernementale de l’autre général Juvénal Habyarimana (1973-1994) et autres Interahamwe qui se sont engagés dans la criminelle besogne de génocide populaire perpétré contre les Batutsi de 1994.

Le general dissident Faustin Kayumba Nyamwasa, de RNC ; il manque de conseils utiles autant que l’autre general ugandais Sejusa en mal de cohabitation avec Museveni et refugie en Grande Bretagne a du plier bagages et revenir au pyas se reconcilier avec son ancien ennemi Museveni

Les milieux négationnistes profitent de la brouille Kampala-Kigali par le biais de RNC

Fait important, ces FDLR auxquelles s’allie le RNC dans son funeste projet de prise d’arme contre les nouvelles infrastructures socio économiques rwandaises, on n’oublie parfaitement de mentionner les personnalités composant son aile politique fait d’anciens agents de renseignement, d’anciens ministres et hommes d’eglises et autres hauts fonctionnaires sous le régime du general Habyarimana (1973-1994) par qui, l’ordre d’engager et éxecuter un genocide de tutsi est venu. Conclusion partielle : RNC devrait revoir la copie de son projet surtout qu’il est connu pour etre extremement minoritaire dans ce vaste complot contre le régime rwandais mijote a partir des milieux négationnistes de Belgique, de France, des USA, de Hollande, Norvege et ailleurs Zambie, Malawi…

Le terrain de ces affrontements reste-t-il la RDC ? Bizarre que les média ne font pas état de foyers d’entraînement de cet RNC dans les espaces protégés quelque part dans le Nord ouest Ugandais que Museveni a gracieusement offert à un autre dissident rwandais, le richissime Tribert Rujugiro Ayabatwa sous prêtexte d’y cultiver son tabac.

La guerre a-t-elle commencé ? Coopération criminelle Museveni-Kayumba-Fdlr

Non ! Il y a encore espoir pour voir les frères rwandais se ressaisir. Pour le moment, il faut décourager et vilipender la coopération du mal Museveni-Kayumba-FDLR qui n’a d’autres intentions que de déstabiliser le Rwanda.

Un confrère de Contact FM-TV, Albert Rudatsimburwa, analyste politique de son état, retrace cinq hauts cadres du RNC évoluant entre l’Uganda et la RDC qui son de grands propagandistes du RNC et qui terrorisent les sujets Rwandais en voyage ou résidant en Uganda et les forcent à rejoindre les rangs de ce mouvement qui pense que tout ne peut que se faire par les armes.

Il a cité capitaine à la retraite Charles Sibomana, Major Habib Mahathiru (retraité), Kayumba Rugema, Charles Sande et Félix Mwizerwa.
L’analyste rapport que le Capitaine Sibomana est mort dans les combats qui se déroulent dans l’Est de la RDC entre groupes armés illégaux qui y pullulent. « Plusieurs dizaines sont mortes dans ces combats et un major Habib, blessé par les balles, a été capturé », écrit Rudatsimburwa qui suit de près ce qui se passe de l’autre côté ouest de la frontière rwandaise. Voulait-il parler des attaques qui déchirent actuellement les peuplades des hauts plateaux de l’Itombwe au Sud Kivu dans le grand espace Banyamulenge ? Est-ce dans l’Ituri ? L’analyste ne souffle mot. Or l’on sait que le RNC, d’après le récent rapport onusien, y a un centre d’entraînement. Il pensait probablement que cette contrées, ces hauts plateaux inaccessibles qui vont du Sud Kivu au Katanga sont si lointaines au point qu’il peut y monter en toute sécurité un centre de formation pour se préparer à la guerre contre son pays qu’il projette pour demain.

L’analyste tente de montrer que les hauts commandants qui télécommandent toute cette saga sont bien au chaud en Afrique du Sud (le général dissident) ou en Norvège et ailleurs ; que les jeunes gens subissent les feux de ceux-là qui tentent de les en dissuader de façon musclée.

Une possibilité de dialogue immédiate impossible

Les jeunes qui ambitionnent de prendre le pouvoir tout autant que ceux-là, vieux, qui pensent ne pas être prêts à quitter ce monde sans qu’ils aient joui de ce pouvoir envoutant trouvent qu’ils peuvent saisir la main ensanglantee tendue par le vieux guérilleros Museveni et retourner la situation rwandaise en leur faveur.

Le dynamisme socio économique actuel doublé du réapprentissage au revivre ensemble entre victimes et ex-bourreaux sur les collines rwandaises est-il un acte si facile au point que ce noble idéal attire les ambitieux politiciens qui rêvent de se percher au pouvoir par les méthodes violentes ?

Ces derniers crient-ils àl’absence de la démocratie occidentale au Rwanda, une démocratie acquise par l’Occident après plus de quatre cents ans de dur labeur au quotidien, de tentative souvent incomplète de dialogue, d’exploitation et d’oppression du capitalisme qui s’accompagnait de création de plus en plus de richesses sociales et d’infrastructures socio culturelles permettant l’humanisation de l’homme.

Museveni, le president ugandais, soutient mordicus tout ce qui peut nuire au regime Kagame, qu’il soit ou non genocidaire. Jusqu’ou la haine peut-elle mener a la cecite politique d’un homme hyper rancunier ? Pourtant rancune ou vengeance n’est pas du tout politique !!!

Les ambitieux politiciens rwandais ne comprennent-ils qu’une prise d’arme détruit des quantités de richesses sociales qui, pour les reconstruire, demandent des décades, mais que pour réaffermir une conscience sociale, cela demande des siècles.
Une histoire de dire que le RNC ne devrait pas prêter une oreille attentive à des gens comme l’Ugandais Museveni entretenant une haine viscérale contre son ancien dauphin Paul Kagame qu’il a promu aux tout débuts de la guerre de libération du Rwanda. Comment cet RNC et l’ancien bras droit de Kagame, le dissident Général Kayumba peuvent-ils accepter une assistance accrue de ce vieux politicien qui n’accepte pas de voir son dauphin réussir sa gouvernance et lui porter ainsi ombrage dans la Communauté internationale, comment l’ex général peut-il tolérer d’entrer dans le complot de cet homme d’Etat pour redéchirer le tissu social rwandais à ce jour mal ou pas complètement rafistolé ?

Une société civile rwandaise adopte la politique de l’omerta

Une société civile rwandaise ne devrait pas abandonner ce général dans ses errements. Elle ne doit pas pratiquer la politique de l’omerta comme si ledit RNC est atteint d’une maladie contagieuse, qu’évoquer son nom, ses crimes et l’aider à revenir dans le droit chemin revient à commettre un crime de lèse majesté.

Si la société civile rwandaise abdique de ses responsabilités dans cette quête difficile de faire entendre raison à un politicien qui est au bord de la falaise, elle sera responsable des conséquences dangereuses et catastrophiques que cet ambitieux, atteint de rancune jusqu’aux os, est entrain de mijoter en s’alliant avec les anciens génocidaires eux aussi leaders d’opinion très écoutés de leur temps et qui ont conduit dans les crimes innommables de génocide conte les Batutsi de 1994.

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Posté le 03/07/2019 par rwandanews