« J’ai serré la main du Diable » évoque notamment le cas de sonscience d’un général canadien, le général Roméo Dallaire, qui commandait les forces de la paix de l’ONU, la MINUAR, au Rwanda durant ces heures tragiques du printemps 1994. Dans les premiers mois de 1994, en Afrique, la situation se dégrade très sensiblement au Rwanda. La guerre civile menace. Les tensions s’aggravent, de jour en jour, entre les communautés et les différentes ethnies antagonistes. Commandant de la Mission des Nations Unies au Rwanda (MINUAR) le général canadien Roméo Dallaire, voit la situation se dégrader de jour en jour. La mort dans l’âme, il tente d’alerter la communauté internationale sur les dangers qui pèsent sur l’avenir des populations du Rwanda.

 Note de l’auteur. L’idée d’un tel projet de pièce théâtrale nous est venue après une expérience vécue, par l’auteur, dans l’un des camps de réfugiés cambodgiens, à Ka Wee Dong, voici près de vingt-cinq années, en 1979, en Thaïlande, puis en Ouganda et en Somalie, quelques années plus tard. C’est de plus un hommage à l’action des organisations humanitaires, avec les risques qu’elle engendre. Non seulement des risques physiques que connaissent tous ceux et toutes celles qui œuvrent dans des pays en situation de guerre, mais ceux aussi de manipulation, d’instrumentalisation et quelquefois d’enlèvement et de statut d’otages, dans des circonstances bien

 
 
spécifiques.http://www.theatrotheque.com/web/lire.php?fiche=2183
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