LE RWANDA PAYS MILLENAIRE, A ETE TOUJOURS INDEPENDANT, PARFOIS OCCUPE, MAIS AUSSITOT LIBERE ET TOUJOURS INDEPENDANT.
Leaders improvisés, fruits de la Révolution assistée, fatalistes, et sans ambition. Ils ont dirigé le Rwanda par une politique de haine et de divisions qui a fini par les emporter.
Le Rwanda, pays conçu puis créé par Gihanga, le premier roi, est régi par une constitution traditionnelle solide, qui s’est transmise de génération en génération, faisant partie des us et coutumes millénaires et gravées dans les gènes de chaque rwandais. Il y a plus de mil ans, que ce pays existe, toujours indépendant dans le cœur et l’esprit de ses habitants, il n’a jamais perdu cette indépendance depuis sa création. Il est vrai que parfois, accident de l’Histoire, le Rwanda a été occupé plus d’une fois, dont la dernière récente occupation connue est celle des allemands, puis les belges et tardivement, l’intrusion française. Mais à chaque fois, la Mère-patrie a été toujours libérée par la seule détermination, la force et les sacrifices de ses propre fils.
Avant la fin des années cinquante, la situation était mûre pour que les fils du Rwanda, à travers le concert de Nations, dont le pays faisait désormais parti, ont demandé et obtenu le départ des envahisseurs. Les leadeurs du Rwanda ont été soutenus avec succès dans cette démarche, par les membres des pays dits de Non alignés, ou le Groupe de 77, qui ont fait cette cause la leur.
A cette époque, le manque d’expérience internationale, n’a pas permis à la délégation nationaliste rwandaise de concrétiser l’appui et les succès obtenus au sein l’Assemblée générale des Nations unies. En effet, le colon qui avait encore l’immense pouvoir sur le terrain, et un bon ministre des Affaires étrangères, Henri Spaak, a su exploiter la lenteur et l’inefficacité légendaire des services des Nations Unies, en contrecarrant la mise en action de la résolution de l’Assemblée générale des Nations Unies. C’est ainsi que Logiest, le commandant spécial du Rwanda a organisé en hâte toute une série d’actions, dont le coup d’Etat de Gitarama, avant l’arrivée de la délégation onusienne. Cette dernière, à Kigali, elle n’a fait que constater, mais tard les manœuvres du colon, mais c’était plus commode pour elle d’accepter le fait accompli.
Le colon, s’appuyant sur la politique de « diviser pour régner », avait créé des divisions ethniques dans le pays, sous couvert d’une fausse démocratie, en faisant la promotion d’un parti politique ethnique, tout en organisant un nettoyage ethnique en affaiblissant ainsi l‘autre et en éliminant par tous les moyens, les leaders nationalistes qui avaient manifesté dans leur programme politique la fin de la présence belge au Rwanda.
Cette politique d’assassinat de leaders, n’était pas unique au Rwanda, car dans l’ensemble des colonies belges, les leaders nationalistes congolais et burundais ont été éliminés physiquement dans la même période et pour les mêmes raisons. Il est vrai qu’à l’époque des indépendances des pays africains, dans toutes les colonies françaises aussi bien celles de l’Afrique de l’Ouest que celles de l’Afrique centrale, l’élimination physique des nationalistes africains était le mot d’ordre du colon qui était appliqué consciencieusement.
Le but étant de remplacer ces leaders éliminés par des leaders plus sages, formatés par le colon, et qui pourront assurer la continuité de sa politique et sauvegarder ses intérêts économiques. Pour beaucoup des pays francophones, le Rwanda y compris, le slogan du colon était « avant l’indépendance égale après l’indépendance ».
C’est dans ce cadre que le colon au Rwanda, avant de céder le pouvoir aux indigènes, il a accéléré la politique du nettoyage ethnique, en ciblant systématiquement les Tutsi, facile à identifié grâce aux cartes d’identité ethniques. La plupart des Tutsi devenaient réfugiés à l’intérieur du pays, ils devaient quitter leurs maisons pour aller dans les camps des déplacés établis dans des zones infestés de mouches tsétsé. Un grand nombre s’est réfugié dans les pays voisins du Rwanda, et d’autres ont été massacrés à chaque fois qu’il y avait une crise politique ou économique qui souvent n’avait rien avoir avec eux. Ils étaient devenus le bouc émissaire idéal et l’outil pour mesurer la température de la politique à l’intérieur du Rwanda.
Le père de cette politique, est un jeune officier le Colonel Guy Logiest, nommé pour l’occasion, Commandant spécial pour le Rwanda. Sa mission était de parachever la destruction de l’âme rwandaise, œuvre entamé des dizaines d’années auparavant par le maître colon et son bras droit l’Eglise catholique. Fier de son chef d’œuvre, Logiest l’a dénommé « la révolution assistée ». Cette révolution a fonctionné cahin-caha de 1960 jusqu’en 1994, et le résultat de ce monstre est la catastrophe humanitaire du premier génocide africain mis en exécution par les africains, contre leurs frères africains. Les rwandais qui ont massacré d’autres rwandais, les chrétiens massacrant d’autres chrétiens dans les églises, les massacres des amis contre leurs amis, des voisins contre leurs voisins, les membres de la famille contre leurs conjoints voire leurs propres progénitures. Ainsi le Rwanda a perdu dans trois mois un huitième de sa population par l’ordre du gouvernement et des Eglises.
Pour le Rwanda, la colonisation ou plutôt l’occupation, était un malheur, mais elle est devenue une catastrophe, surtout quand elle s’est clôturée par une décolonisation désastreuse.
Et les fruits de cette Indépendance ?
Comme on guide un aveugle, le colon dans sa révolution assistée, devait aider les nouveaux leaders, sortis fraichement de la moule coloniale,
à inscrire le Rwanda, comme nouveau membres des Nations Unies. Une délégation est envoyée à New York avec un drapeau tout nef du Rwanda pour qu’il soit hissé parmi les autres drapeaux des pays membres. Au service du protocole des Nations unies, la délégation fut informée que les couleurs de ce drapeau appartiennent à un autre pays déjà membre de l’Organisation: la Guinée de Sekou Touré. La délégation confuse s’est retirée pour consultation.
C’est ainsi que les braves délégués, entre grommellement et consultation, ils ont pris la très haute et facile décision d’écrire un grand R noir en plein milieu du drapeau. Présenté au Service de protocole des Nations unies, ce dernier n’avait plus rien à redire. La Guinée non plus !
L’Occident et la mode d’imitation
On dirait qu’en Occident l’imitation est une mode courante : un jour quand l’un colonise, tous les occidentaux vont coloniser. Quand l’autre donne l’indépendance à sa colonie, c’est la saison des indépendances, tous les autres donnent l’indépendance à leurs colonies. C’est dans ces conditions que le Rwanda fut indépendant et il a été donné aux gens qui ne l’ont pas demandé !
Le Rwanda est un pays qui s’est créé depuis la nuit de temps, celui qui prétend lui donner l’indépendance connait mal le pays, ne maitrise pas son histoire, sa politique, ses traditions, son peuple et surtout sa stratégie politique.
Il suffit de lire le livre de Logiest, « Mission au Rwanda », pour réaliser combien ce militaire colonial, ignorait tout du pays et pourtant par un coup de tête, il a décidé de lui inventer un avenir. A ce pays millénaire, il a décidé de gommer la mémoire accumulée de générations en générations pendant des siècles. Sans aucun doute, sa mission principale, n’était que de mettre en place un système politique avec leadership indigène capable de continuer la politique de la Belgique en Afrique et de protéger ses intérêts au Rwanda, voire au Congo. Tout cela avec une présence minime des belges dans le pays.
Ce soi-disant indépendance n’avait comme base politique que les divisions ethniques à outrance entre les rwandais, qui ont aboutit à des massacres voire des actes de génocide dès le début des années soixante. Evidemment ces divisions ethniques plus tard ont finalement fait appel aussi aux divisions internes de ce leadership, région par région et la fin de ce régime s’est déclenchée dès que les divisions sont arrivées au sein des familles gouvernantes. Comme résultat, jusqu’en 1994, il était impossible de faire un développement durable, sur le plan social et économique à travers le pays. Logiest a légué consciemment au pays un leadership incompétent, ethnicisé, sans aucun intérêt de la Mère-patrie.
La ville de Kigali des années 70-80, n’est qu’un gros village poussièreux qui se cherche
L’aide socio-économique octroyée chaque année au Rwanda par la Belgique puis la France et l’Union européenne, avait plutôt les allures d’une assistance palliative. Elle permettait au pays d’éviter de tomber en faillite, mais elle n’avait aucune capacité de dynamiser un développement économique durable.
Mais aussi la torpeur traditionnelle dans laquelle étaient plongés les leaders de l’époque, semblait leur donner satisfaction de la situation du pays, de la population et de leaders eux-mêmes. Ils n’avaient aucune ambition pour chercher mieux ni viser plus haut. Et la jeunesse, le futur du Rwanda, n’a servi que comme un vivier ou l’autorité locale et nationale recrutaient les tueurs de Tutsi lors de plusieurs dizaines d’actes de génocides qui ont eu lieu entre 1959 et 1994, année de la solution finale du génocide contre les Tutsi.
Ce n’est pas dans un tel esprit, ni dans une telle situation politique, que le pays pouvait décoller ni politiquement ni économiquement.
Pourtant, les félicitations des pays donateurs et de la Banque mondiale pleuvaient en vantant la bonne gouvernance de l’équipe gouvernante, la simplicité et la modestie des dirigeants, et d’autres qualificatifs flatteurs, qui ont aussi contribué à endormir les leaders récipiendaires ces éloges.
… Et vient la Libération menée par les enfants engagés pour le Rwanda
Leaders décomplexés, rassembleurs, bâtisseurs et visionnaires,
fruit rwandais de la Libération qui ont comme politique la réunification de la société rwandaise
et la reconstruction du Rwanda pour le ramener le plus haut que les limites du firmament le permettra.
Contrairement à la fameuse indépendance qui est venue diviser et massacrer les enfants du pays, le mouvement de libération est venue plutôt pour mettre fin à la dérive nationale, qui avait commencé par l’invasion des occidentaux et qui s’est poursuivi par leurs valets qu’ils ont installé au pouvoir. Ce type du néocolonialisme n’a fait que continuer à mener la politique de destruction du pays et même à l’aggraver, par le maintien de la population dans la pauvreté et de cultiver les divisions qui ont abouti au génocide.
Depuis 27 ans de mouvement de libération, on peut évaluer l’action du gouvernement qu’elle a mis en place, et qui a été mené par ces groupes d’hommes et de femmes rwandais, déterminés à arrêter les dégâts humains, à créer l’unité de la société rwandaise et de provoquer le développement du pays en reconstruisant son économie
Arrêter les massacre et le génocide contre les Tutsi
Après que le gouvernement et ses forces armées et les miliciens aient massacré plus d’un huitième de la population, et aucune force internationale n’avait pas l’intention d’intervenir. Seuls les fils du Rwanda ont pris en main leur responsabilité, de se sacrifier pour arrêter ce crime de crimes et d’autres crimes contre l’humanité.
Cet acte héroïque à lui seul vaut au mouvement de Libération mille fois ce que les deux Républiques n’ont jamais pu réaliser, et que les pays signataires de la convention de Genève ont failli à leur engagement de « ne plus jamais ça » et que les Nations Unies a fermé les yeux avec ses soldats de maintien de la paix qui ont abandonné le terrain laissant le champ libre aux criminels. Mais le mouvement de Libération a arrêté ce génocide.
Rétablir la justice dans les pays
Depuis 1959 à 1994, le pays a été dirigé par des gouvernements qui autorisaient et organisaient les crimes et l’impunité. Certains hommes des Eglises influentes du pays ont donné la bénédiction aux criminels avec l’active participation d’un certain clergé. La faillite totale des institutions qui devaient assurer l’autorité, la justice et le moral.
Dans un pays où il y a plus d’un million des gens massacrés, le mouvement de libération ne pouvait pas diriger le pays sans rétablir un minimum de justice pour la population. A l’époque, le nombre des criminels était immense, les tribunaux détruits, les juges partis ou massacrés, ainsi il était impossible pour le système judiciaire classique, de satisfaire les besoins judiciaires du pays.
C’est pourquoi le gouvernement de libération a imaginé un système judiciaire de proximité, qui a pu faire éclater la vérité, établir les sanctions, calmer les esprits et démontrer que désormais tout crime est punissable.
La Libération a rétablie dans le pays une Justice pour tous qui manquait depuis plusieurs dizaines d’années.
Rétablir l’unité de Rwandais
La politique de l’indépendance du Rwanda n’était basée que sur la division qui a été à la base de la destruction de l’unité du peuple rwandais. L’une de priorité du gouvernement de libération était de ressouder la société rwandaise en un seul peuple. Le Rwanda est un des rares pays du monde qui forme une homogénéité qui favorise l’unité : une même origine, une même langue, une même croyance, partageant le même territoire, les mêmes valeurs et les mêmes intérêts socio-économiques.
Il fallait arrêter cette division créée par le colon avec insistance sur les appellations ethniques, les cartes d’identité séparatistes des rwandais, il fallait mettre fin aux divisions régionales construites par des régimes précédents pour raison des faveurs et de se maintenir au pouvoir. La femme dans la société rwandaise a repris sa place et ses droits et désormais rien ne la distingue de l’homme dans ses droits et devoirs dans le pays et au sein de sa famille.
Seul le mouvement de Libération a su casser ces divisions, rétablir l’unité de tous, cimentée par les droits et les devoirs de chaque citoyen rwandais.
Un développement économique sans précédent
Jusqu’en 1994, l’économie rwandaise était restée telle que l’a laissée le colon. La subsistance, parsemée de famine dans les régions. L’exportation du thé et du café avec un peu de tourisme, le tout sans beaucoup d’initiative, de nouveauté et sans ouverture. Conscient de la pauvreté du pays, le gouvernement s’enfermait dans cette attitude fataliste, et, la population avec.
En 1994, le mouvement de Libération a hérité du reste d’une pauvre économie détruite par les hordes des génocidaires. Il a fallut tout reconstruire, dynamiser et innover. Une vingtaine d’année plus tard le pays était dans sa splendeur, malgré le Covid-19. Kigali n’est plus ce gros village poussiéreux, il est devenu une ville digne de ce nom, reconnue dans le monde pour son charme et sa propreté légendaire. Les villes des régions se développent et le milieu rural bénéficie de retombées économiques des centres urbains.
La ville de Kigali, et les villes de l’intérieure connaissent un développement
spectaculaire, Elles sont attrayantes pour les touristes
et rassurent les investisseurs qui cherchent la sécurité et les facilités
Le Rwanda après le génocide, est désormais, un pays qui inspire la paix, la sécurité, l’ouverture et la facilité aux investisseurs. Les exportations traditionnelles, tels que le thé et le café ont bénéficié d’une plus-value grâce à un meilleur processus. Le tourisme a explosé grâce à une meilleure organisation de parc, de l’environnement et surtout à la protection et l’introduction des espèces rares et envoie de disparition. Il en est de même pour l’exploitation minière qui s’est développée grâce aux prospections et à la transformation de certains minéraux avant l’exportation. Le « Rwanda Development Board » fait un travail remarquable pour attirer et faciliter l’investissement au Rwanda
C’est encore ce mouvement de Libération qui est à la base de ce dynamisme économique et de ces innovations qui se sont développées rapidement au Rwanda.
Les retombées sur les villes de l’intérieure ainsi que le milieu rural, sont palpables.
Les appartements sociaux avec facilités à Musanze pour les familles sans moyens.
Les populations urbaines et rurales ne sont pas du reste dans l’amélioration économique au niveau familial. Pour la jeunesse, l’éducation scolaire généralisée et encouragée a beaucoup joué dans la dynamisation des jeunes dans la recherche et la création des emplois dans tous les domaines. Les bureaux de startup ont vu le jour, suivi des petits projets rentables. Le quartier industriel de Kigali avait besoin de la main d’œuvre qui a un minimum de formation.
Le milieu rural a connu un saut en avant dans l’utilisation des engrais, utilisation de biogaz, et les familles pauvres ont pu recevoir des vaches laitières qui permettent non seulement à améliorer l’alimentation surtout celle des enfants, à produire du fumier et à avoir une source de revenu.
La création de coopératives d’épargne et de crédit, d’achat, de production et de commercialisation, a permis aux paysans de mieux s’organiser dans leur économie.
L’amélioration de l’habitat, l’électrification qui approche les 70 % et qui vise d’être universelle dans trois ans.
L’amélioration de la santé a fait que l’espérance de vie qui était de 47 ans en 1994, est passée actuellement à 67 ans.
Ce mouvement de libération a fort combattu la corruption avec succès et cette lutte a été combinée avec différents types de taxes qui ont permis gouvernement à faire bénéficier à la population des meilleures infrastructures, des services de santé, de l’éducation et tant d’autres services qui étaient négligés auparavant. Et cela a permis aussi la création des nouveaux emplois.
La libération, a dégagé l’esprit d’initiative,
de créativité et d’entreprise basé sur l’égalité de chance, de la formation pour tous.
Le développement n’attendait que cela
Les anciens régimes étaient gangrenés par la corruption sous différentes formes. Ainsi le pays vivait sous perfusion financière. Plus de 70 % du budget national était une aide au budget national qui venait des bailleurs de fond. Les bienfaiteurs comme on les appelait. Avec le mouvement de Libération qui a dynamisé l’économie, combiné avec les différentes mesures d’accompagnement, l’aide budgétaire ne tourne plus qu’autour de 15% et elle est appelée à disparaître. Une performance.
Ouverture du Rwanda au niveau régionale et internationale
Le mouvement de Libération, décomplexé a pu sortir le Rwanda de l’isolement stérile dans laquelle ses leaders l’avaient enfermé. L’adhésion du pays au sein de la Communauté de l’Afrique de l’Est, était une décision vitale, car toutes les routes du Rwanda vers l’Océan traversent les pays membres de ce groupe régional. Et surtout que le Rwanda appartient à cette zone géographique. L’adhésion au Commonwealth était aussi un coup de maître sans pour autant quitter la francophonie ni d’autres zones régionales de l’Afrique centrale.
Grâce à l’expérience de la Libération, le Rwanda est devenu un grand partenaire des Nations Unies en ce qui concerne le maintien de la paix dans le monde. Le Rwanda s’est distingué par sa participation et sa contribution dans diverses commissions de Développement durable, ICT, Genre, Environnement et autres. Il en est de même au niveau de l’Union européenne dans le cadre de son partenariat avec les pays d’Afrique, caraïbes et Pacifique, sans oublier le Forum économique mondial et tant d’autres. Le Rwanda sous différentes formes, a contribué aux échanges qui concernent particulièrement le développement durable, le genre, l’ICT, la bonne gouvernance, etc.
Les réalisations du mouvement de Libération au Rwanda sont nombreuses, cela prendra plus de temps si on veut les énumérer et chacune d’elles est toute une école et pourrait faire un sujet d’étude à part.
Ce qui est important est de comprendre que pour nous les rwandais, l’indépendance n’était qu’un cadeau empoisonné. Pour preuve, il faut compter le nombre de massacres qui se sont passés autour des années de l’indépendance début juillet 1962 jusqu’au début juillet 1994. C’était la catastrophe humanitaire.
Par contre, depuis que le Rwanda est libéré, le bilan du mouvement de Libération se mesure par le multiple de cent, de loin supérieur à celui des anciens régimes génocidaires. Leur bilan est inégalé en pertes humaines.
Entre une fausse indépendance et une vraie Libération, le choix est clair :
Le Rwanda millénaire et indépendant,
a été libéré de ses envahisseurs et de leurs valets le 4 juillet 1994.
Et dès lors le pays a repris son essor et sa place dans le concert Nations libres