Paul KAGAME, venu au pouvoir au terme d’une guhttp://www.nerrati.net/afrique-dossier/images/afr-centrale/rwanda/personnes/paul-kagame-pr-rwanda.jpgerre civile cautionnée et animée par la France, l’armée française, les médias et les politiques français, est aujourd’hui décrié et décrit comme le pire des dictateurs en Afrique. L’occident et en particulier la France à travers ces médias sionistes, fascistes et néocolonialistes annoncent déjà les couleurs devant leurs échecs à contrôler ce pays ; ces Hommes politiques ; sa population et son économie.
S’il n’y avait pas eu un homme de la trempe de Monsieur KAGAME, qui d’autre aurait pu sauver le Rwanda de la disparition et de l’effacement total ? Le plan machiavélique des puissances occidentales était de rayer ce pays de la carte du monde, et tout y a été pris pour, à bonne date. Notamment l’ethnicisassion du pays, de l’armée et de l’administration entre hutu et tutsi.
Le résultat a été le sanglant et meurtrier génocide de 1994 qui a battu bien des records dans les annales de l’histoire des guerres civiles.
Et c’est pièce après pièce, morceau après morceau, souffle après souffle l’un minutieusement soudé à l’autre, de jour comme de nuit ; en toute prière mais dans un élan de renaissance et de reconstruction que KAGAME, chef militaire et les autres survivants ont su redonner souffle, vie et dignité à ce peuple ou de ce qu’il en reste. Ce pays renait de ces cendres devient progressivement une puissance économique et agricole en dans la sous région.
Le Rwanda est aujourd’hui le seul pays africain dont les performances économiques défient les institutions économiques et financières du monde. Et tout ceci n’a pu être possible que grâce à la conjugaison de toutes les énergies constructives ; à la mobilisation et à la bonne gestion de toutes les ressources où qu’elles se trouvent le pays.
Au terme d’une élection présidentielle que Monsieur KAGAME vient de remporter selon les critères que lui et son peuple se sont fixés, l’occident et particulièrement la France et ses médias abominables, commencent à crier à la dictature et à l’oppression de l’opposition et de la presse.
Pourtant, sur les mille trois cents observateurs conviés à cette élection, seuls ceux devant provenir de l’Union Européenne n’ont pas été présents. Officiellement, l’UE aurait eut des problèmes de budget. Mais dans les couloirs à Bruxelles, on racontent ne pas vouloir cautionné le maintien au pouvoir ni la dictature de Monsieur KAGAME. Une seul question: que maintient donc Paris et conssorts au Burkina Faso, au Tchad, au Caméroun, au Gabon, au Togo où des dictateurs sont protégés, vernis de sang de démocrates, et quand ils venaient à mourir, on promeut leur fils.
On parle même d’absence de démocratie et de liberté publique. Soit ! où étaient donc ces démocrates et ces nouveaux baptisseurs qui aiment tant le pays et qui veulent aujourd’hui le construire quand ce même pays a failli ne plus exister sous le plan diabolique de l’occident ? Pourquoi ce n’est que maintenant que Paris et autres les exhibent comme des trophées de guerre?
Qu’est-ce qu’une démocratie sans le développement ? Une démocratie a-t-elle de sens sans une autosuffisance alimentaire? Une démocratie qui ne se préoccupe que l’existence et de l’entretien d’une classe politique corrompue, gourmande et infecte fait-elle l’affaire du citoyen lambda ?
Pourquoi veut-on imposer un modèle de démocratie aux nations africaines ? Pourquoi veut-on que le Rwanda fasse ce que veut la France, la Belgique et autres puissances criminelles ? On dit que monsieur KAGAME dirige le Rwanda comme un camp militaire ; je le préfère. Je préfère cela à toute liberté démocratique qui me nuit, m’appauvrit et appauvrit mon pays. Une liberté démocratique hors norme où les abus sont érigés en règle de vie et de jeu. Une démocratie où la France travaille toujours à être de mèche avec l’opposition contre le pouvoir exécutif au nom d’une alternance démocratique ; au nom d’un jeu démocratique. Tout ce qui marche en Afrique fait peur à la France et son seul souci est de faire échouer les initiatives crédibles qui échappent à son diktat.
Les exemples de démocratie aux ordres imposés par Paris et consorts existent sur le continent africain et on voit bien les résultats.
Mon pays le Bénin, comme beaucoup d’autres sont un exemple vivant d’une démocratie qui n’existe que de nom et selon les critères de l’occident.
Une démocratie faite de corruption et d’impunité ; une démocratie sans éthique ni dignité ; une démocratie avec une presse qui vilipende son pays, ses autorités et d’honnêtes gens mais se réfugie sous « la dépénalisation des délies de presse » ; une démocratie où chaque foyer a son parti politique reconnu et enregistré au ministère ; une démocratie où les prédateurs de l’économie nationale vont tous se réfugier au parlement pour ne jamais répondre de leurs crimes; une démocratie avec une société civile opportuniste, corrompue et instrumentalisée aussi bien par le pouvoir, l’opposition que par certaines chancelleries étrangères; une démocratie où le développement du pays ne préoccupe aucun élu; une démocratie où l’opposition n’apporte aucune contribution à l’action du gouvernement, elle rejette toute demande de ratification au motif que ceci ne servira qu’à renforcer la côte de popularité du chef de l’exécutif, une démocratie qui nous nuit, nous détruit et nous enfonce plus qu’elle nous élève! Une démocratie où tous les dirigeants politiques vont se faire soigner à l’étranger pour leurs problèmes de santé; dans le même temps l’on manque d’alcool, de coton, de seringue et de tout, dans les mouroirs d’hôpitaux auxquels ils contrairgnent la population. C’est cela une démocratie ? Et pourtant, c’est cela que la France aime pour l’Afrique ; la France aime voir une Afrique statique, figée sur elle-même et toujours dépendante des rentes. La politique africaine de la France ne rêve que d’une Afrique misérabiliste et toujours aux ordres, politiquement, économiquement, financièrement et culturellement, au besoin.
Partout où il y a une vraie dynamique de changement, d’émergence et de construction positive, la France crie au « non respect des droits de l’Homme ». Ces fameux droits de l’Homme tant bafoués en occident au quotidien et dont personne ne parle jamais.
La France n’est pas habilitée à donner de leçon. On a vu récemment le comportement d’un colonel de la gendarmerie française vis-à-vis d’un reporter togolais. Que la France laisse chaque pays Africain se construire à son rythme et en fonction de ces réalités socio-politiques.
Les représentations diplomatiques françaises en Afrique noires font et défont les régimes selon leurs intérêts. L’Afrique a marre d’être l’éternel bambin toujours à la traine de la France ; nos pays doivent maintenant se détacher et décliner leurs propres visions de démocratie et de développement. Il nous faut maintenant des KAGAME à la tête ne nos Etats.
Des pays comme le Bénin, le Burkina Faso, le Gabon, le Cameroun, le Congo, le Niger, la Côte d’Ivoire, le Togo…. où la France a foutu le bordel et bloqué le développement économique et financier depuis des années sont là, stagnants. D’aucun avec des présidents inamovibles mais qui ne foutent rien, d’autres « fabriquent » des élections tout le temps mais sans impact de développement ni économique ni financier sur le pays encore moins sur la vie du citoyen.
S’il m’était donné de choisir, je choisirai bien la dictature rwandaise productrice de richesse, de développement économique et de bien-être de la population, à la démocratie stérile, inutilement chère, tapageuse et corrompue de mon pays et de bien d’autres entretenue par la France.
http://isidoredokpa.blogspot.com/2010/08/paul-kagame-symbole-dune-reussite_12.html
Posté par rwandaises.com