Dans son discours, le président a dit que l’Afrique est l’origine de l’homme, il y a quatre millions et demi d’années. Tous les êtres humains n’ont vécu en Afrique qu’il y a environ 100,000 ans. Le dernier âge de glace s’est terminé il y a 11,700 ans. Avant cela, les gens ne pouvaient pas vivre dans de nombreuses régions du nord de notre globe. Par conséquent, le stock européen (Européens, Américains, Canadiens, australiens), les asiatiques, les arabes, etc., sont tous des anciens africains.
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Ils ont perdu la mélanine (la pigmentation noire dans la peau) dans leurs peaux en raison de leur vie dans les climats froids, avec un peu de soleil, où la mélanine n’est pas nécessaire.
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L’Afrique est le pionnier de la civilisation. La civilisation égyptienne, qui a commencé il y a environ 5200 ans, vers 3000 av. J c est l’une des premières civilisations de la race humaine.
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Les trois grandes religions du monde moderne ont été succored par l’Afrique d’une manière ou d’une autre. Il s’agit du christianisme, du judaïsme et de l’Islam. Le bébé Jésus était caché en Egypte quand le roi Hérode a commencé à tuer tous les nourrissons.
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Ceci est trouvé dans le livre de Matthieu 2:13-14 dans la Bible. Avant cela, en l’an 1567 av. J c les Juifs avaient été sauvés de la famine quand l’un des enfants de Jacob, Joseph, qui avait été vendu à l’esclavage par ses frères, les a emmené en Égypte où il y en avait plein. Ceci est trouvé dans le livre de la Genèse chapitre 42 vers 1-10, dans la Bible.
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Pourtant, cette Afrique de nombreuses premières dans l’histoire de la race humaine, a été confrontée à une catastrophe après la catastrophe au cours des 500 dernières années. Ces calamités ont notamment porté sur la traite des esclaves, le colonialisme, le génocide dans certains cas, le néo-colonialisme et la marginalisation. Pourquoi a-T-il été ainsi ?
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L’Afrique, qui a fait de nombreuses premières pour la race humaine, a eu quelques faiblesses internes qui ont rendu difficile pour son peuple de répondre aux menaces qui ont émergé après 1453
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C’est l’année où les turcs ottomans, qui sortent d’Asie centrale, capturent Constantinople, la capitale de l’empire romain de l’est.
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Ce faisant, ils ont bloqué la route de la soie qui avait été lancée par Marco Polo dans les années 1271 à 1368. Depuis que Marco Polo, la soie et les épices étaient en train de traverser cette route. Cette route a été fermée et l’Europe occidentale a été coupée des produits de l’est, qu’ils étaient venus au trésor.
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Une recherche frénétique d’une route maritime vers l’est par les européens a commencé, dirigée par le Portugal. De meilleurs navires ont finalement été construits et les portugais sont arrivés en Sierra Leone en 1460. En 1498, Vasco Da Gama a fait le tour de la pointe sud de l’Afrique et, le jour de Noël, a atterri au natal, d’où le nom de Place Jusqu’à maintenant, venant du mot latin, natalis (natal).
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Quelques années plus tôt, en 1492, Christophe Colomb, qui travaillait pour le nouveau royaume-Uni D’Espagne (Castille et Aragon Unis en 1479), avait atteint un tout nouveau continent, l’Amérique, dont les îles off-shore, les Caraïbes , il s’est confondu avec les îles de l’est, d’où le nom éventuel des Antilles.
Par conséquent, en raison de la pression créée par les turcs sur les européens, les européens ont quitté leur pays d’origine et ont commencé à accéder aux terres de l’Afrique, de l’Amérique et de l’Asie à travers l’Atlantique et les océans indiens.
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C’est à ce moment-là que les faiblesses de l’Afrique et des Amériques se sont mises à l’avant. Les populations autochtones des Amériques n’ont pas pu résister aux souffrances de l’invasion européenne et beaucoup d’entre elles ont péri ; elles ont été exterminés et leurs terres ont été prises en charge par les immigrants d’Europe. C’est pourquoi les européens sont devenus les américains. Ceux qui n’ont pas péri ont été marginalisés.
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Comme les africains ne meurent pas facilement, ils ont survécu aux 500 années d’invasions étrangères mais ont traversé de nombreuses privations : le commerce des esclaves, le colonialisme, dans certains cas le génocide, etc.
Pourquoi L’Afrique n’a-T-elle pas réussi à vaincre ces invasions ? En effet, en 1900, toute l’Afrique avait été vaincue à l’exception de l’Éthiopie qui a vaincu les envahisseurs italiens lors de la bataille de adua en 1896., selon notre analyse, ce n’était pas à cause du manque de courage ou de la volonté de résister. C’était surtout en raison de la balkanisation politique.
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La population africaine n’est divisée que en quatre groupes linguistiques. Il s’agit du Niger-Congo (Bantou et kwa), de la nilo-saharienne (Hamitiques, nilotique et nilo-Hamitiques), de l’afro-Asiatique (Arabe, tigrinya et amharique) et des khoisan (appelés « Bochimans » En Afrique Australe).
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Par conséquent, l’ensemble des peuples africains est soit similaire, soit lié. Le Président a dit que je peux choisir des mots similaires à ceux de mon dialecte, le dans les dialectes bantu, tout le chemin du Cameroun vers l’Afrique du sud. À 2000 km en Afrique du sud, par exemple, les zoulous et xhosas salue : » Saubhona « , ce qui, je le soupçonne, signifie : » je vous ai vu « . cela doit être du verbe : » Kubona » – C’est-à-dire » à voir « .
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Dans mon dialecte, le, le verbe « Kubona » signifie trouver quelque chose qui a été perdu. En Swahili, cependant, le verbe : « Kuwona » signifie exactement ce que cela signifie dans les dialectes sud-Africains. C’est dans le groupe Bantou de dialectes. Même entre les groupes – par exemple le Niger-Congo contre nilo-saharienne ─ vous trouvez des similitudes. Les nubiens du sud de l’Égypte et du Nord-Soudan, apparemment, utilisent le mot : Nina pour vouloir dire « mère ».
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Dans beaucoup de dialectes de la Bantous des grands lacs, le mot pour mère est : « Nyina ». incroyable. Le mot somalien pour la vache est saa. Dans les dialectes Bantous des grands lacs, le mot saa est spécifiquement et exclusivement utilisé pour le fumier de vache (Obusa, amasha, amasa, etc.). Par conséquent, ces peuples africains sont soit similaires, soit liés. En effet, si vous utilisez le mot « Nation » pour dire un peuple d’une ascendance commune ou d’un patrimoine commun, vous pouvez dire que l’ensemble de la population africaine de 1.3 milliards de personnes aujourd’hui, se compose de seulement quatre nations : le Niger-Congo ; le nilo-Sahraoui ; L’Afro-Asiatique ; et les khoisan.
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Alors, c’était quoi, le problème ? Pourquoi L’Afrique n’a-T-elle pas pu se défendre contre les envahisseurs ? Pourquoi L’Afrique est-elle encore faible aujourd’hui ? D’après notre étude, la réponse réside dans la balkanisation politique. Dans les années 1400, l’Afrique était gouvernée par des petits royaumes, des chefferies ou, parfois, par des arrangements segmentaire (la règle de l’âge – groupes).
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Les Européens ont essayé d’avaler la Chine, mais c’était trop gros pour avaler. Ils ont essayé d’avaler le Japon ; C’était trop gros pour avaler. Ils ont essayé d’avaler l’Éthiopie, mais c’était trop gros pour avaler. Les Royaumes et chefferies africains ont été » Lorsqu’ils sont confrontés à des groupes plus organisés de l’extérieur. La défaite progressive de l’Afrique à partir de 1400-1900 a provoqué de graves distorsions qui sont prises en compte dans un certain nombre d’études que nous avons faites.
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En dehors de la traite des esclaves et d’autres hémorragies infligées aux sociétés africaines, il y a eu aussi la destruction progressive des classes artisanales (les forgerons noirs, les charpentiers, les forgerons de cuivre, les médecins, etc.) et le remplacement de leurs produits par les produits importés. Ceux-là. Même avec les sociétés primitives, ils ont toujours produit leur propre nourriture, leurs propres vêtements, leurs propres armes (lances, arcs et flèches, etc.) et les moyens pour leur propre abri (matériaux de logement). Ce ne sont peut-être que les africains de l’ère coloniale et néo-coloniale qui dépendent de la nourriture, des vêtements, des armes et des matériaux de construction d’autres. Tout cela a été une conséquence des distorsions résultant du colonialisme.
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Néanmoins, par une combinaison de facteurs, les pays africains ont recouvré leur indépendance, à commencer par l’Égypte en 1922, le Soudan en 1956 et le Ghana en 1957., quels étaient ces facteurs ? Il s’agissait : les africains refusant d’être exterminés comme les indiens américains et les aborigènes australiens ; la résistance des combattants de la liberté africaine ; le soutien des pays socialistes tels que l’URSS et la Chine ; et les guerres parmi les impérialistes ─ le soi-disant 1 ère et 2 ème guerres mondiales ─ qui les ont tellement affaiblies à notre avantage. En 1994, la dernière partie de l’Afrique sous contrôle étranger, l’Afrique du sud, a retrouvé sa liberté politique.
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Mais ce qui est incroyable, c’est que beaucoup de l’élite politique africaine, les intellectuels, les autres dirigeants sociaux etc., n’ont pas pris la peine d’enquêter sur la cause de notre quasi-Extinction au cours des 500 dernières années et de chercher des moyens de Comment nous pouvons nous immuniser contre toutes les menaces contre notre survie, notre souveraineté, notre sécurité et notre prospérité sur notre terre. C’est ainsi que nous nous en prenons aux deux questions que nous considérons comme cruciales pour notre avenir.
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Il s’agit de l’intégration politique et économique de l’Afrique. Notre point de vue est que l’intégration africaine signifie trois choses : la prospérité, la sécurité et la fraternité. Nous ne pouvons pas garantir notre prospérité si nous ne résolvons pas la question du marché. Lorsque des entreprises ou des familles produisent des produits (biens) ou des services, combien de consommateurs vont acheter ces produits ? Si un produit n’a pas assez d’acheteurs, l’entreprise échouera.
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En Ouganda, nous avons récemment eu une grande récolte de maïs. Nous avons produit 5 millions de tonnes, mais l’Ouganda ne consomme que 1 millions de tonnes. Les prix se sont effondrés. De nombreux agriculteurs vont s’éloigner du maïs dans les saisons à venir. Ce n’est qu’un exemple. Beaucoup d’autres peuvent être cités à travers l’Afrique. Nous avons donc besoin d’une intégration économique pour assurer le marché de nos familles et de nos entreprises productrices pour être assurées d’un marché sur les principes de la compétitivité. Le marché intégré de l’Afrique stimulera non seulement la production en Afrique, mais nous permettra également de négocier de manière crédible avec les autres grands marchés tels que les États-Unis, la Chine, l’Inde, la Russie, L’Union Européenne, etc. Il est bon que, récemment, nous nous sommes mis d’accord sur la zone de libre-échange continental (cfta). Mettons en œuvre ses dispositions. C’est la voie de la prospérité et d’une partie de la réponse au sous-Développement, à la pauvreté et au chômage.
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Toutefois, l’intégration économique, même si elle crée la prospérité pour nos pays individuels, ne répondra pas à la question de la sécurité stratégique contre les menaces mondiales. Les Américains parlent de la supériorité de quatre dimensions : la supériorité sur terre, dans l’air, en mer et dans l’espace. Récemment, le président Donald Trump parlait de créer une armée de l’espace. De nombreux pays africains ne disposent pas encore d’une armée capable sur terre, sans parler de l’air, de la marine ou de l’espace. Qu’est-ce que l’avenir ? Même lorsque nos pays sont devenus des pays à revenu intermédiaire ou à revenu intermédiaire, ils ne peuvent pas, individuellement, avoir la capacité stratégique de se défendre contre les super-puissances mondiales. Au cours de la seconde guerre mondiale, les premières victimes de l’agression ont été les pays développés mais petits d’Europe : Hollande, Belgique, Danemark, Pologne, etc.
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Israël, sur le plan technologique, est une super-Puissance. Toutefois, d’une manière stratégique, Israël serait durement pressé de survivre au moyen-Orient sans le partenariat des États-Unis. C’est pourquoi, en fin de compte, la taille est aussi importante. C’est pourquoi nous disons que, en plus de l’intégration économique, lorsque cela est possible, l’intégration politique est très cruciale. Les 54 États D’Afrique actuels, même lorsqu’ils sont développés, ne seront peut-être pas en mesure de garantir notre avenir contre les puissances mondiales avides.
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L’attaque des pays occidentaux contre la Libye a été une honte pour l’Afrique. C’est pourquoi, depuis 55 ans, j’ai été sur les traces de Mwalimu Julius Nyerere sur la question de la fédération de l’Afrique de l’est (l’intégration politique du Kenya, de la Tanzanie et de l’Ouganda). Depuis, la cae s’est élargie pour inclure : le Rwanda, le Burundi et le sud-Soudan. Ces personnes sont des groupes spécifiques des peuples africains composés de la Interlacustrine Bantous (La Bantous des lacs) et de la interlacustrine nilote, de interlacustrine nilo-Hamitiques et de interlacustrine couchitiques.
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Ces groupes présentent de grandes similitudes dans les dialectes et les liens entre les différents groupes. Par-dessus tout, ils ont la chance d’avoir le dialecte de de du swahili. Les six pays travaillent sur la question de la Confédération et, en fin de compte, de la Fédération. Les États-Unis D’Afrique de l’est, dont la population actuelle est de 170 millions d’habitants, qui seront de 878 millions d’ici à 2050, avec 2050 millions de kilomètres carrés de territoire terrestre, seraient égaux à l’Inde dans la zone terrestre. Une telle unité serait cohésive, autour du swahili, ainsi qu’un centre de gravité pour la sécurité africaine. Il serait capable de toute tâche ─ de défendre l’Afrique, si nécessaire, sur terre, en mer ou dans l’espace, car c’est ce que les autres veulent.
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Nous devrions donc regarder à travers l’Afrique. Quels sont les autres domaines qui présentent des similitudes et des liens ? Qu’en est-il de l’Afrique Australe ? Qu’en est-il de l’Afrique centrale ? Que diriez-vous de l’Afrique de l’ouest avec ses peuples transfrontaliers des hausa, des Peuls, des yoruba, des akan, des mandigos, etc.? Que diriez-vous de l’Afrique du nord avec son peuple qui parle arabe et, surtout, Qu’en est-il de la corne de l’Afrique avec sa confluence des couchitiques et des peuples sémite de cette région ? Je ne mourrai pas de la pression artérielle si les 54 États actuels d’Afrique, les anciennes colonies, ont été remplacés par 10 ou des États, chacun de la taille de l’Inde. Quand les britanniques ont forcé les tribus indépendantes de notre région à se rendre en Ouganda, ils ont certainement fait une bonne chose. Si l’Ouganda est un meilleur produit que la « République » de ankole, ma zone tribale, pourquoi l’union de l’Afrique de l’est ne devrait-elle pas être meilleure ?
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Est-il correct de déifier l’architecture politique coloniale des 54 pays actuels (dont 52 d’anciennes colonies) et d’exclure la possibilité d’une réorganisation rationnelle pour obtenir des résultats optimaux ? Deux colonies de l’état libre d’orange et du Transvaal sont unis avec les deux colonies britanniques ─ cape town et natal pour former l’union de l’Afrique du sud en l’an 1910. TOUT LE MONDE EST HEUREUX DE L’UNION DE L’AFRIQUE DU SUD. Pourquoi ne peut-on pas s’améliorer sur ce que les colonialistes ont fait ? En 1912, l’Afrique vaincue, a lancé une contre-offensive stratégique contre les envahisseurs lorsque les patriotes en Afrique du sud ont formé le Congrès National Africain (L’ANC) qui a aussi attiré le grand Mahatma Gandhi.
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La contre-offensive a pris de l’élan, y compris le 5 e congrès pan panafricaniste de 1945 où nos anciens comme Nkrumah, Kenyatta et d’autres ont juré de libérer l’Afrique de la honte de la domination étrangère, agissant en coordination. Il a donc été un contrôle pour permettre à la contre-offensive stratégique de Peter de sortir après l’indépendance. Nous avons besoin de raviver et de développer cette contre-offensive.
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Enfin, le point principal est que les personnes que nous essayons de réunir, comme nous l’avons souligné plus haut, sont soit semblables à l’un de l’autre, soit liées. Ils appartiennent tous aux quatre groupes selon la langue : le Niger-Congo, le nilo-saharienne, L’Afro-Asiatique et le khoisan. Ce sont des groupes fraternels. Quand Mouammar Kadhafi était en vie, je ne suis pas d’accord avec lui sur la question d’un gouvernement continental maintenant. Avec le commerce, je peux échanger avec tout le monde.
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Cependant, l’intégration politique a besoin d’une plus grande intimité. Les peuples devraient soit être similaires, soit compatibles. C’est la raison pour laquelle je préfère la stratégie des fédérations régionales de Mwalimu Nyerere, lorsque cela est possible. Mzee Kwame Nkrumah a préféré un gouvernement continental, comme Mouammar Kadhafi.
Par conséquent, l’intégration de l’Afrique signifie 3 questions : la prospérité, la sécurité stratégique et la fraternité. Il y a des documents plus longs et plus illustrés qui traitent de cette question.
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Les dirigeants africains depuis l’indépendance, doivent faire attention à ne pas partager la condamnation historique comme celle que nous tas sur les chefs pré-coloniaux qui, depuis près de 400 ans, certainement dans le cas des grands lacs, se sont concentrés sur les rivalités entre eux , même après que Vasco Da Gama était passé par la côte d’Afrique de l’est. Au lieu d’unir notre peuple, ils étaient occupés à se battre les uns contre les autres avec leurs sujets obséquieux qui d’des pseudo-louanges sur eux.
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Quand les européens étaient prêts, après le congrès de Berlin, ils ont pénétré sur le continent et ont ramassé de nombreux chefs comme des sauterelles. L’Europe, l’Amérique et l’Asie vont maintenant vers la 4 ème révolution industrielle ─ l’utilisation de machines intelligentes. En Afrique, nous n’avons même pas traversé les premières et deuxième révolutions industrielles ─ l’utilisation des moteurs à vapeur et de l’électricité. Pourtant, les intégrations économiques et politiques sont des stimuli cruciaux pour ces changements. Les dirigeants africains doivent donc travailler dur pour ne pas partager le sort des chefs tribaux pré-coloniaux qui ont laissé tomber leurs peuples.
